Sortit du lit de la mort, son regard se tourna soudainement sur la porte à sa gauche, devais t il la franchir ? se demandait-il. Bien sur, il n’avait aucunement la réponse.
Il s’avança jusqu'à quelque centimètre de l’entré, il hésita.
La porte grinça lorsqu’il la poussa ; il déboucha alors sur un couloir, en face, il croisa de nouveau son regard le fessant sursauté. Il continua à pas lent son chemin.
L’atmosphère était très sombre, lugubre, l régnait un silence a glacer le sang, il s’avança encore plus loin, passant devant des tableaux et meuble très funéraire, certain représentation l’effrayer.
A chaque pas, le parquet craquait sur son poids de plume, des lustres de cristal éclairant à peine son chemin qui sembler être interminable.
Suivant sa route, il débouchait dans d’autres couloirs, tel a un labyrinthe, parfois il passa des portes vitré, ou, curieux, il pouvait y apercevoir a l’intérieure. Certaine salle comprenait, un tableau noir, des chaises, des bureaux, et de hautes fenêtres, il se fut la réfection, se pouvait t il que cette endroit soit un établissement scolaire ?
Il ne comprenait pas, il ignorait tout des ses lieux si étrange, il ne savait pas trop ce qu’il fessait, il marché devant lui, d’endroit en endroit, bientôt plus vite, tel a une âme perdu.
Il se sentait guidé, emporté, vers une destination, qui devait lui être prévu.
Il suivit son instinct, et a un moment, il atterri sur un balconnet d’un grand escalier, de marbre, il descendit les 5 marche du palier, pour se trouvé au premier, face a l’énorme porte d’entré, qui pu apercevoir d’où il se trouvé.
Il eu un moment d’hésitation à nouveau, mais il n’eu pourtant pas l’envie et la force de tenté de s’échapper, il su tout au fond de lui, qu’il se délivrera jamais de ses murs, Une force inconnu lui empêché.
Ce double porte, Élégante, massif de bois lui inspirait confiance et confort, il descendit les marches principales face à celle-ci.
Son corps soudain lui lâcha, il s’écroula d’un bruit sourd.
Il cru sentir une présence dans la salle, ce qu’il le fit paniqué. Il tenta de se redresser mais son corps le lui empêché. Peut être quelqu’un était entré. Il n’osait pas demander, il s'enfuit la tète dans ses bras, étalé sur le sol. Les larmes lui coulaient sur les joues. D’ailleurs il ne voulait parler à personne, bien qu’il se sente atrocement seul dans cet endroit sinistre et humide. Plus rien n’avaient de sens, plus rien n’avait d’importance… Âpres tout, qu’il était t-il ? ca il ne le savait même pas. A quoi bon vivre quand notre vie nous a était enlevé .Et cette douleur insupportable l’empêché de remettre ses idées au clair.
Il passa sa main derrière son dos puis la ramena devant lui. Il saignait !
Mais rien n’était plus douloureux que la peine qu’il portait, à présent il n’avait plus d’identité, plus de but.
Il resta la un long moment, allonger sur le sol froid, il sentit un filet de sang lui coulait sur le bas du dos.